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Qu'est-ce que le vivant ? Un bref horizon des réponses philosophiques et scientifiques

La question du vivant parcourt l'histoire de la philosophie et des sciences, mais personne ne s'accorde pour le définir. Peut-on trancher ce problème ?

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Par Aurélien

Lecture 15 min

Cet article fait partie d'un dossier complet sur la médecine. Les arguments qui y sont développés s'inscrivent donc dans une totalité. CF : le sommaire.

Sommaire :
  1. Les paradigmes capitalistes de la médecine

  2. La crise du COVID-19 comme symptôme de la maladie capitaliste

  3. Qu'est-ce que le vivant ? Un bref horizon des réponses philosophiques et scientifiques

  4. Qu'est-ce que la santé ? De l'anormalité et l'anomalité

  5. Qu’est-ce que la médecine ? La leçon d'Hippocrate

  6. Approches et controverses : L'opposition médecine conventionnelle-non conventionnelle ou allopathique-holistique

  7. La médecine prise en otage : Entre scientisme et pseudo-science

  8. Des lobbys corrompus aux charlatans de province : Conséquences et dérives de la médecine bourgeoise

  9. Darwin complotiste ? Le néo-kantisme contre Darwin

  10. Refondation thérapeutique : Propositions pour une pratique communiste de la santé

Suite du dossier :

D'Aristote à François Jacob, la question du vivant parcourt toute l'histoire de la philosophie. Elle est absolument fondamentale car elle interroge l'un des phénomènes les plus rares et les plus fragiles de l'univers connu. Et pourtant les philosophes peinent à y répondre. Nombre d'entre eux ont tenté de proposer des modèles explicatifs - que nous allons étudier -, mais le débat reste en suspens. Toutefois, et aussi surprenant que cela puisse paraître, cette aporie ne nous empêche pas de faire du vivant une science : la biologie. Voyons comment philosophes et scientifiques ont posé cette question et quelles réponses ils ont tenté d'y apporter.

Premièrement, penchons-nous sur le mécanisme théorisé par Descartes. Inscrit dans la lignée des découvertes du XVIIe siècle (Kepler, Galilée, Newton), il s’apparente à la méthode scientifique moderne qui apparaît alors. C'est d'ailleurs dans le même ouvrage que Descartes exposera sa méthode et sa théorie du vivant (1). La découverte de lois physiques fondamentales comme la gravitation révèle aux penseurs de l'époque que l'univers obéit à ses lois propres, des lois naturelles.

Ce chambardement cosmologique et épistémologique, qui renvoie Dieu et la théologie aux confins de la raison abstraite, entame le processus de désenchantement du monde et contribue à la constitution d'un savoir à portée de l'homme. Les phénomènes ne sont plus des mystères mais des lois explicables rationnellement. C'est donc tout naturellement après avoir observé les réactions et les conséquences des interactions des objets qui les entouraient, qu'ils ont commencé à envisager la science comme étude de l'enchaînement de causes et d'effets. Petit à petit s'est alors établie la représentation d'un monde vu comme une sorte de grande machine. Voltaire ira même jusqu'à comparer, un siècle plus tard, l'univers à « une horloge sans horloger (2) ».

Dans le droit héritage des humanistes qui les ont précédés, curieux de tout savoir, les mécanistes se sont naturellement questionnés sur le vivant. Appliquée à l'étude des animaux et du corps en général, leur conception du monde les a amenés à envisager ceux-ci comme des automates. Pour eux, les différentes parties du corps des animaux sont conçues comme autant de rouages, pompes et soufflets autonomes qui produisent les effets dont ils sont eux-mêmes la cause. Selon eux, le vivant est ce qui résulte de ce fonctionnement.

En partant de cette hypothèse, on peut raisonnablement imaginer la possibilité de créer un être vivant de toute pièce, la seule contrainte étant de pouvoir effectivement être capable de les réaliser. Or, le mécanisme rencontre là ses limites ! En effet, un tel modèle nous permet de comprendre le fonctionnement de l’organisme, mais il ne nous renseigne en rien sur la nature et l’origine du vivant. Le mécanisme ne permet pas de comprendre la raison du développement des parties du corps, ni même la cause qui les poussent à agir entre elles.

Comprendre le fonctionnement de votre voiture ne vous permet pas de connaître son origine, sa raison d'être. De plus, les organismes sont des êtres extrêmement complexes. On n'oserait imaginer pouvoir décrire à l’événement près le fonctionnement d'un corps vivant dans sa totalité. Mais surtout, si le corps est un automate, on ne peut étudier ses parties en autonomie. Si nous restons dans le domaine de l'automobile, imagineriez-vous votre véhicule fonctionner si le garagiste retirait une pièce du moteur ? Le mécanisme est donc incomplet car il ne nous donne pas de définition ontologique du vivant et ne nous permet pas de comprendre la finalité de ce qui le compose.

Portrait de René DescartesPortrait de René Descartes (Frans Hals / Wikipédia)

À l'inverse, pour le finalisme, les parties du corps servent avant tout une fin. Cette philosophie apparaît beaucoup plus tôt dans l'histoire, puisqu'on la retrouve déjà chez Aristote. En bon grec de l'antiquité, Aristote n'a pas connu le désenchantement du monde ; au contraire, pour lui l'univers obéit et est ordonné par un cosmos, c'est-à-dire un ordre naturel des choses qui les détermine. Pour les grecs, toute chose a une fin puisqu'elle réalise un ordre qui lui préexiste. Ainsi, le Stagirite écrit : « Ce n’est pas le hasard mais la finalité qui règne dans les œuvres de la nature, et à un haut degré ; or, la finalité qui régit la constitution ou la production d’un être est précisément ce qui donne lieu à la beauté. (3) »

En effet, comment expliquer que nous ayons des mains si ce n’est pour nous en servir ? Pour Aristote, il faut expliquer le vivant par sa finalité. Il compare la pince du crabe et la main de l'homme et constate que les deux servent à attraper des objets. De ce fait, il en déduit que la finalité de la pince et de la main est la préhension. Le fait de prendre devient la raison d'être de la main. Pour expliquer le vivant en général, le finalisme élargit sa réflexion au niveau du fonctionnement global décrit par le mécanisme et opère la déduction suivante : le fonctionnement du corps dans son ensemble a pour finalité la vie, le principe de vie est donc la finalité du vivant. La raison d'être du vivant c'est la vie elle-même.

De cette manière, le finalisme explique la cause et l’origine des parties du corps et dépasse le mécanisme. Mais il va plus loin puisqu’il considère que l’ensemble de ces fonctions sert un principe plus grand qu’est le principe vital. Ce principe est le moteur qui fait du vivant ce qu’il est et qui le pousse à être. Il est essentiellement positif en tant qu’il ne peut pas ne pas vouloir être. Il est une force d’exister qui donne au corps la capacité à persévérer dans son être. C’est ce principe qui est à l’origine de la vie selon les finalistes, qui sont donc également, pour certains d'entre eux, des vitalistes.

À titre d'information, le vitalisme est une position morale dérivée du finalisme. On le retrouve chez des penseurs célèbres comme Henri Bergson et son Évolution Créatrice (1907). Pour des soucis de compréhension et d’explication, nous confondrons volontairement les deux termes dans cette étude, qui reste avant tout une introduction. Nous renvoyons ceux qui voudraient en apprendre plus à la Logique du vivant de François Jacob.

Buste d'AristoteBuste d'Aristote (Lysippos / Wikipédia)

Cependant, ce principe est indémontrable ; il n’existe nulle part de « principe vital » observable et quantifiable par la science. De plus, l'explication finaliste des parties du corps suppose une intelligence attribuée à la nature. Celle-ci imposerait son dessein, ce qui laisserait place à une forme d’explication métaphysique. Comment, alors, concilier une conception matérialiste de la réalité sans pour autant se débarrasser de la notion de finalité nécessaire à la compréhension du vivant ? C'est la révolution kantienne de la théorie de la connaissance qui vient résoudre cette contradiction.

La pensée d'Emmanuel Kant est vue par beaucoup, à raison, comme la synthèse des théories philosophiques de son temps. De Descartes à Hume en passant par Leibniz et Spinoza, s'opposent deux conceptions radicalement opposées de la connaissance.

Tout d'abord vient le rationalisme, qui considère que la connaissance ne peut s'établir qu'à partir de déductions fondées sur des postulats logiques simples, à la manière des mathématiques. Par exemple, on peut déduire de cette proposition d'Euclide « deux choses égales à une troisième sont aussi égales entre elles (4) » que 3 + 3 et 8 - 2 = 6 et que donc 3 + 3 = 8 - 2.

Vient ensuite l'empirisme, qui considère que la connaissance réside dans l’expérience sensible. Pour les empiristes, le rationalisme opère avec des abstractions vides qui ne permettent pas de connaitre la réalité et, selon eux, il vaut mieux partir des faits pour remonter au général par l'induction. Plus grave encore, le rationalisme pose en dernière instance que l'origine des postulats se trouve dans la volonté de Dieu, qui les auraient placé dans la tête du chercheur. Ce à quoi les rationalistes répondent en soulignant que les sens nous trompent souvent et qu'ils ne sont donc pas fiables (on pense par exemple à la vision déformée que nous avons d'un bâton planté dans l'eau, qui se courbe à la surface).

Selon Kant (5), tout d'abord rationaliste lorsqu'il était disciple de Leibniz avant de découvrir les travaux de Hume, c'est bien l’expérience empirique de la réalité qui fonde la connaissance. En effet, selon Kant, les sens, qui fondent la première faculté de la connaissance, ne nous trompent pas, ils nous donnent une information brute. C'est l'entendement, seconde faculté chargée d'unifier ces données en concept, qui, par erreur d'interprétation, peut passer à côté d'une détermination empirique et produire une croyance fausse. Mais si l'entendement peut se tromper, il peut aussi redresser son jugement et produire un croyance vraie. L’expérience empirique et le jugement analytique sont donc synthétisés dans la collaboration qui lie la sensibilité et l'entendement dans le domaine théorique.

Ce qui est important à comprendre ici, c'est que Kant transforme le sujet en membre actif au centre de la connaissance. Auparavant, il n'était qu'un être passif se contentant de recevoir, ou bien les données sensibles de son expérience, ou bien ses postulats parfaits venus de Dieu. Le sujet n'est plus un miroir qui vient refléter des objets extérieurs à lui-même, mais un agent actif qui modifie et adapte les données de l’expérience à l'aide de son entendement.

Mais il subsiste pour Kant une troisième faculté : la raison. Elle est pour lui la faculté des fins, mais attention, ses prétentions sont illégitimes dans le domaine théorique car elle n'a pas accès à la matière de l'expérience sensible. Son application légitime est réservée au domaine pratique. La raison est ce qui nous permet de nous interroger sur les fins que nous devons poursuivre, par exemple dans le domaine moral. La finalité est alors déplacée de l'objet au sujet, elle devient une idée régulatrice. Elle est ce qui nous permet de nous poser des problèmes pratiques.

Kant applique ce raisonnement au vivant (6) et démontre que l'idée de fin est une nécessité pour comprendre le vivant, du fait des insuffisances du mécanisme qui reste cependant une description fidèle de la réalité. Mais cette finalité n'est pas interne au vivant, elle est un moyen que la raison donne au sujet pour le penser convenablement. Elle ne produit pas de connaissance en soi, mais elle établit l'édifice nécessaire à la construction de la connaissance par le sujet. Kant réconcilie donc l'approche mécaniste et l'approche finaliste en distinguant le fait de connaître et de penser le vivant, sans pour autant les opposer.

Emmaneuel KantEmmaneuel Kant (Johann Gottlieb Becker / Wikipédia)

Le problème est que le kantisme refuse toujours de voir ce qu’il appelle la chose en soi (l’objet d’étude) au profit de ses phénomènes (ce qu’il renvoie). En effet, si Kant semble résoudre la contradiction entre le mécanisme et le finalisme, il ne fait que la déplacer dans un idéalisme transcendantal, qui place l’objet dans la posture d’une chose que la raison ne peut pas connaître mais seulement envisager d’après des postulats indémontrables, à l’inverse de ses phénomènes. C’est-à-dire qu’il ne permet pas d’envisager toute la question d’un point de vue matérialiste, mais seulement ce qu’elle recoupe d’observable. Ainsi, la finalité apparaît dans le raisonnement kantien comme la chose en soi et le mécanisme comme les phénomènes. Or, on sait que pour une conception moniste de la réalité comme celle de Hegel ou Marx, la distinction entre la chose et ses phénomènes n’a pas de sens, car une chose ne peut être rien d’autre que ses phénomènes.

C’est Darwin, naturaliste contemporain de Marx et Engels, qui pose les bases pour dépasser définitivement cette contradiction. Darwin est moniste matérialiste : il ne fait pas de distinction entre la chose et ses phénomènes. En tant que scientifique étudiant la nature, sa méthode n’est pas dialectique mais mécaniste. Et pourtant, malgré ce mécanisme, il parvient à théoriser l’évolution des espèces.

Darwin observe que les êtres vivants sont soumis à des variations génétiques à l’échelle ontogénique (l’individu) et les espèces à des contraintes écologiques à l’échelle phylogénétique (l’espèce). Il remarque que l’évolution des espèces résulte d’une sélection par celles-ci des variations génétiques individuelles les plus adaptées pour survivre aux pressions écologiques. De cette observation, Darwin tire une loi qu’il nomme sélection naturelle (7). Cette loi permet de comprendre le processus interne au vivant qui le mène à évoluer tout en restant d'un point de vue strictement mécaniste.

Toutefois, il n'annule pas complétement la pensée de Kant, qui reste une avancée. Le « Chinois de Königsberg » a raison lorsqu’il place la finalité dans le sujet ; c’est précisément ce qui distingue les pseudo-darwinistes de Darwin. En effet, ce dernier considère que l’on explique toujours les facultés d’une espèce « ancêtre » par le développement de ces mêmes facultés chez les espèces « descendantes ». Cela veut dire que l’évolution est un processus dont on ne peut avoir connaissance qu’à sa fin et donc qu’elle n’a pas de cause distincte ; or seul l’homme est capable de connaître ce processus. Ainsi, selon Marx « c'est l'anatomie de l'homme qui explique celle du singe et non l'inverse (8) ». Darwin nous permet donc de penser une téléologie (finalité) non causale, qui trouve l’origine de sa dynamique dans sa propre immanence restituée par la recherche humaine.

Portrait de Charles DarwinPortrait de Charles Darwin (G Richmond / Wikipédia)

Mais alors comment définir le vivant ? De fait, ce qui est vivant est ce qui vit, donc ce qui s’oppose à la mort. Mais comme le remarque Claude Bernard, les biologistes, pour étudier les espèces vivantes, n’étudient que des cadavres. Il y a donc une contradiction entre le fait d’étudier la vie par l’intermédiaire de l’inerte. En vérité, c’est parce que la mort est consubstantielle à la vie. Il y a de la mort parce qu’il n’y plus de vie et, inversement, la vie n’existe qu’en tant qu’elle est une lutte contre la mort, vers laquelle elle tend irrémédiablement. Cependant, quand un être meurt, certaines de ses cellules continuent d'exister et peuvent se transformer en s’intégrant à d’autres organismes, permettant ainsi la vie. La mort n’est donc même pas la fin du vivant, mais celle d’un être vivant, c’est-à-dire d’un objet ou sujet, reconnu comme unité en vie, ce qui en fait un phénomène proprement humain. Dans la nature, il n’y a pas d’individus qui meurent mais simplement des cellules qui évoluent et qui se transforment.

Claude Bernard s’interroge sur l’utilité même de définir le vivant. Selon lui, le scientifique n’a pas besoin de définir la vie pour l’étudier car elle est une science expérimentale. C’est-à-dire qu’elle pose des hypothèses sur le fonctionnement des objets qu’elle étudie, puis elle cherche à les invalider en procédant à différents tests de vérification, ce qui lui donne les résultats qu’elle accumule simplement. Ce modèle expérimental n’a pas besoin du concept de vie pour étudier le phénomène vivant, car il ne procède pas d’une méthode purement déductive. Il est avant tout empirique, c’est-à-dire qu’il part des faits, et s’oppose donc au rationalisme dont les résultats sont déduits par la logique à partir de postulats premiers. D’après Claude Bernard : « il suffit que l’on s’entende sur le mot « vie » pour l’employer : mais il faut surtout que nous sachions qu’il est illusoire et chimérique, contraire à l’esprit même de la science, d’en chercher une définition absolue. (9) »

La leçon de Claude BernardLa leçon de Claude Bernard (Leon Lhermitte / Wikipédia)

Une telle conception, si elle est opérante et appliquée en biologie du point de vue pratique, ne peut suffire au philosophe. Nous sommes face à une aporie qui n’a pas encore été tranchée par la science et la philosophie moderne, et qui nous amènerait trop loin dans le cadre de cette brève introduction aux problèmes du vivant. Cependant, rappelons que le cadre de notre étude est celui de la médecine ; or, comme nous le démontrerons plus tard, la médecine est une pratiqué fondée sur la science. Ainsi, nous nous proposons, pour l’instant, de nous tenir aux deux principes majeurs qui caractérisent le vivant, d’après la science, pour continuer notre réflexion.

Pour la NASA : « est vivant tout système délimité sur le plan spatial par une membrane semi-perméable de sa propre fabrication et capable de s'auto-entretenir, ainsi que de se reproduire en fabriquant ses propres constituants à partir d'énergie et/ou à partir d'éléments extérieurs. (10) » On peut synthétiser cette définition dans les deux principes suivants :

Le vivant est donc un équilibre entre la faculté de l’organisme à maintenir des constantes physiologiques (homéostasie) subissant un ensemble de réactions de synthèses et de dégradation chimique (métabolisme).

L’étude du vivant n’est pas quelque chose de simple. Sa conception par les plus grands philosophes et scientifiques a été en constante évolution depuis Aristote, connaissant de nombreuses révolutions épistémologiques permises par les progrès de la science et des techniques. Il est donc illusoire de croire à un modèle valable pour l’éternité car il est lui aussi, comme toute idée, reflet de l’histoire humaine. La médecine, qui s’appuie à son tour sur la science du vivant, est donc elle aussi soumise à des évolutions et des révolutions et il n’existe pas de conception « absolue » de ce que devrait être une bonne médecine.

Article suivant : Qu'est-ce que la santé ? De l'anormalité et l'anomalité

Montage Maladie Georges CanguilhemMontage Maladie Georges Canguilhem (Affrachi / Affranchi)


Sources :

(1) René Descartes, Discours de la méthode, 1637

(2) Voltaire, Les Cabales, 1772

(3) Aristote, Des parties des animaux

(4) Euclide, Éléments

(5) Emmanuel Kant, Critique de la raison pure, 1781

(6) Emmanuel Kant, Critique de la faculté de juger, 1790

(7) Charles Darwin, L’Origine des Espèces, 1859

(8) Karl Marx & Friedrich Engels, L'Idéologie allemande, 1845-1846

(9) Claude Bernard : Leçons sur les phénomènes de la vie communs aux animaux et aux végétaux, 1878


Sources images :

adege : slime-mold-2798148_1920

Comfreak : elephant-2380009_1920

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